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Presse

Raynaut Escorbiac dans LibertyMag

Dans les coulisses des entreprises Made In France avec Raynaut Escorbiac

« Rendez-vous avec Raynaut Escorbiac, le CEO de Inersio – France Immersive, la première plateforme de visites virtuelles en vidéos 360° pour arpenter les coulisses des entreprises Made In France »

Comment peut-on faire une plongée au cœur des entreprises grâce à France Immersive ?

Vous visitez des entreprises à distance comme si vous y étiez en vrai depuis n’importe quel support média : ordinateur, téléphone, casque de réalité virtuelle. Nous avons à peu près une centaine d’entreprises dans lesquelles vous pouvez vous déplacer de pièces en pièces, en immersion dans les bureaux comme dans les usines. Tout a été scénarisé en amont, un peu comme le Google Street View des entreprises, avec pas mal d’interactions sous forme de photos, de process, d’interviews de collaborateurs à leurs postes de travail.

Vous œuvrez en faveur de la réindustrialisation en France ?

Oui, ou en tout cas la fin de la désindustrialisation de notre pays et la mise en avant de nos savoir-faire ! Je suis par ailleurs ambassadeur des Forces Françaises de l’Industrie en Provence, où je vis, qui fédère des industriels et des sympathisants du Made in France. L’enjeu pour nous est de faire découvrir aux consommateurs que nous fabriquons encore plein de produits en France, et ce dans des domaines d’activités très variés, de l’industrie lourde à l’artisanat en passant par la culture, le tourisme et même l’agriculture. Il est intéressant de voir que, pour des produits assez simples, il y a tout de même cent étapes de fabrication !

Vos visites virtuelles peuvent également servir aux entrepreneurs à destination de leurs clients ?

Ils ont leurs entreprises dans leur poche partout dans le monde et peuvent ainsi en montrer l’authenticité. Pour les sociétés qui exportent, nous réalisons même des visites en plusieurs langues, à minima en français et en anglais. Étant moi-même chef d’entreprise en province, je me rends bien compte que lorsque mes prospects visitent ma société, mes performances commerciales sont largement meilleures que lorsque je me déplace seul chez eux.

Vous participez à œuvrer finalement pour une consommation plus responsable ?

Je ne suis pas né dans l’écologie mais on y arrive forcément par bon sens humaniste. C’est l’évolution naturelle qui fait que si on rajoute un peu de vertu dans ce qu’on fait, on vit mieux…

Article datant de janvier 2023.

Lien originel de l’article : https://libertymag.fr/raynaut-escorbiac/

Article des Forces Françaises de l’Industrie

Raynaut Escorbiac : "Mon monde virtuel est bien réel et vertueux !"

Nous entraîner dans le cœur des métiers, des savoir-faire, des territoires via la réalité virtuelle et augmentée. Tel est le métier passion de Raynaut Escorbiac, ambassadeur F.F.I Provence. Rencontre avec un défenseur acharné du Made in France et des nouvelles technologies qui fait bien la différence entre son univers du monde virtuel connecté, bien réel, et le métaverse à l’avenir encore flou.

– Les F.F.I : Pouvez-vous vous présenter ?

– Raynaut Escorbiac : Je suis un entrepreneur du Sud de la France. Je vis à Aix-en-Provence. Je suis, au départ, un ingénieur en informatique. Pendant dix ans, j’ai été salarié, mais je ressentais depuis toujours une envie irrépressible de monter ma propre structure. Comme je ne sais pas faire les choses à moitié, j’ai repris mes études. J’ai passé un MBA en 2005 en management international à Marseille. Puis, j’ai créé une première société, Develop’Invest qui était spécialisée dans la gestion externalisée dans la formation professionnelle. Nous avons démarré cette aventure à deux et nous étions une cinquantaine quand je l’ai cédée une dizaine d’années plus tard. Il s’agissait d’un métier de niche. Nous étions devenus l’un des acteurs principaux en France. J’ai lancé dans la foulée, Inersio. C’est une société qui conçoit des visites immersives en réalité virtuelle, en vidéos 360 interactives et qui propose des solutions de réalité augmentée pour les entreprises à différents niveaux, domaines.

« Comment me déplacer en France avec qui je suis réellement dans ma poche ? »

– Les F.F.I : Comment l’idée est-elle venue ?

– R.E : J’étais dans le Sud de la France et mes clients étaient plutôt ailleurs en France que dans ma région. Je me suis aperçu que j’étais plus performant en termes d’indicateurs commerciaux quand ils venaient me rendre visite dans mon entreprise ! Le taux de transformation de mes offres était supérieur. Je me suis alors demandé : comment je peux me déplacer en France ou dans le monde avec qui je suis réellement dans ma poche ? En sachant que la raison aurait aussi voulu que j’installe ma nouvelle entreprise à Paris, mais je voulais rester dans le Sud. Les outils de réalité virtuelle sont venus à mon secours sur ces deux sujets ! Il n’y a de virtuel que le mot car nous fabriquons des solutions en vidéo 360 que nous rendons interactives. L’immersion est très puissante. Mon interlocuteur, sans qu’il ne bouge, peut visiter à distance une usine de savons de Marseille, découvrir un métier, se retrouver au cœur d’un territoire, d’une vigne ! C’est le savoir-faire que je fabrique ! Récemment, j’ai réalisé des visites immersives du Carnaval de Nice. Des personnes, quand elles ont enlevé le casque, après avoir vu des vidéos, m’ont dit :  » Il faut que j’y retourne avec mes enfants » alors qu’elles n’y étaient pas vraiment allées ! L’idée m’est donc vraiment venue par le business et la performance commerciale qu’elle entraînait. Je fais visiter, découvrir avec l’objectif d’apporter un retour sur investissement pour le client. Ma formation d’ingénieur m’a aidé à maîtriser le support assez vite. J’ai développé avec mon équipe des technos que nous avons embarquées dans nos casques. Par la suite, pour répondre à l’appétence du public au tourisme industriel, nous avons créé la 1ère plateforme en ligne de visites des savoir-faire et industries françaises qui s’appelle franceimmersive.com. Elle est gratuite, accessible en lige et permet de découvrir des belles entreprises françaises.

« Le business model a été validé dès le départ ! »

– Les F.F.I : Une belle aventure. Était-elle risquée financièrement ?

– R.E : Grâce au fruit de la vente de ma première entreprise, j’ai pu ainsi capitaliser correctement ma startup. Du reste, je me considère comme un start-uppeur déguisé en chef d’entreprise ! En effet, le business model a été validé dès le départ. Ma société a été rentable dès la première année en 2019. Elle gagne de l’argent et ce n’est pas un gros mot ! Nous sommes aujourd’hui une dizaine, tous basés à Aix-en-Provence, à concevoir ces solutions immersives. J’ai lancé l’activité en étant sûr de la technique et des rentrées financières. Nous continuons à nous développer : les évolutions et les innovations sont constantes. Aujourd’hui, on sort des projets en réalité augmentée. Je peux animer un kakémono, des cartes de visite, des objets, des produits, des visites d’usines. Il est possible de rentrer dans le cœur des filières, des métiers, des territoires. Je suis un passionné de la techno qui doit générer, à l’arrivée aussi, du chiffre d’affaires pour mon client. Mon objectif : rendre accessible au grand public cette science et permettre à mon client de générer du ROI. Je fais de la réalité augmentée sur un savon de Marseille pour mieux le faire vendre, c’est ça qui me plait. Je ne suis pas dans la gadgétisation des choses. J’aime mesurer l’impact financier qu’a eu ma solution.

« Un film institutionnel capte l’attention 18 secondes en moyenne, ma solution, elle, captive 5’40. Et toutes les études le démontrent … »

– Les F.F.I : Dans quels secteurs intervenez-vous ? Êtes vous présent à l’international ?

– R.E : J’ai décidé de concentrer les activités d’Inersio aux savoir-faire, aux industries et aux territoires français. Je suis très engagé dans le Made in France et en particulier par le biais des F.F.I.. Je souhaite apporter ma petite pierre à l’édifice par ce biais. La désindustrialisation doit cesser. Nous devons passer à une phase de réindustrialisation. Plus on enverra de messages forts, plus on montrera des éléments concrets au grand public, plus il sera sensibilisé au fait qu’il est important de fabriquer, concevoir sur notre sol. Nos réalisations se concentrent actuellement exclusivement sur des entreprises françaises. Nous avons une centaine de clients à ce jour, pour la plupart des marques connues et bien installées : AigleLa Brosserie Française, la Savonnerie Marius FabreIntuisBleuforêtEurofins BiolabLa Camargue, etc.

– Les F.F.I : Avoir recours à une visite immersive représente-t-il un investissement important pour ces structures ?

– R.E : L’investissement est équivalent à celui d’un bon film institutionnel qui lui ne capte l’attention en moyenne que 18 secondes. C’est la réalité des chiffres ! La visite immersive, elle, entraîne un temps de présence de 5 minutes 40 sur framceimmersive.com ! Le spectateur est acteur de sa visite. Il va là où il veut aller, regarde ce qu’il veut découvrir, lance la vidéo témoignage de son choix. Le retour sur investissement direct se mesure concrètement en taux de transformation. Quand on emmène l’usine dans le casque, on aperçoit un accroissement du panier moyen. L’image de marque est upgradée, le sujet prix est mieux compris. Les clients peuvent aussi s’en servir aussi comme un outil RH pour les recrutements et montrer des images concrètes : « voilà l’usine dans laquelle vous allez travailler ! » Là encore, ça facilite les résultats, les vocations ! Pendant trente ans on nous a martelé un faux message : « si tu es mauvais à l’école fais attention, tu iras travailler à l’usine. » Une chape de plomb pesait sur l’industrie, il ne fallait vraiment pas y aller. C’est en montrant les filières, en faisant découvrir ces sourires sur les postes de travail que notre contribution, aussi minime soit elle, aidera à redorer l’image de l’industrie.

« Le métaverse demeure une vraie question ! Je suis l’anté-métaverse, et non l’anti-métaverse ! »

– Les F.F.I : Votre activité est bien ancrée dans le monde réel ! Quel regard portez-vous sur le métaverse dont on parle tant ?

– R.E : Toutes ces nouvelles technos, quand elles ne sont pas de l’ordre du gaming, ont une vraie valeur ajoutée. Certains peuvent être tentés de dire que je remplace des êtres humains par des êtres digitaux. Je fais totalement l’inverse. Je mets l’être humain là où il ne peut pas y avoir d’êtres humains. Une boutique est-elle fermée ? On peut afficher les horaires de réouverture sur la porte. Moi avec la réalité augmentée, je fais intervenir des êtres humains devant cette boutique qui expliquent comment il est possible d’avoir recours aux services de cette entreprise alors qu’elle est fermée. Je comprends mieux le message d’un être humain qui s’adresse à moi que celui qui est écrit sur un bout de papier scotché sur une porte. Le Métaverse demeure une vraie question ! Pour l’instant, il y a autant de metaverses que de définitions du metaverse ! Même Méta laisse le soin aux autres acteurs de définir ce que c’est pour qu’ils s’en emparent mieux par eux mêmes ! Pour moi, le métaverse, c’est construire un monde parallèle au nôtre, totalement digital. Je me considère comme l’anté-métaverse et non l’anti-métaverse. C’est une différence importante que j’ai d’ailleurs eu l’occasion d’exprimer, récemment, auprès des équipes de Méta. Je fabrique des choses grâce à des outils digitaux dans mon monde réel. Je ne fabrique pas une usine dans le métaverse. J’apporte avec moi mon usine réelle. Je la rends interactive, je la filme en 360. Le casque est malheureusement appelé casque de réalité virtuelle mais en anglais virtual reality englobe la vidéo 360. Je soutiens la réalité augmentée et de la réalité virtuelle via des applications dans le monde réel qui fonctionnent et qui rapportent de l’argent. Alors qu’on ne sait pas encore, à ce niveau, ce que le métaverse va donner. J’ai plutôt tendance à y croire mais je ne vois pas pour le moment de corrélation avec le monde réel. J’observe une parcellisation à ce monde réel.

« Je n’étais pas un homme de réseaux, mais j’ai été séduit tout de suite par les F.F.I »

– Les F.F.I : D’où vous vient cet intérêt pour l’industrie ?

– R.E : J’ai été informaticien en début de carrière, et j’ai dû, à ce titre, intervenir dans une quinzaine de domaines d’activités différentes dont beaucoup d’industries. J’ai découvert que l’on avait sur notre sol de belles entreprises qui fabriquent beaucoup de choses. Quand j’ai créé Inersio, j’ai commencé avec des industries proches de chez moi, en Provence. Puis le Covid est arrivé, j’ai dû me poser et analyser. L’outil ROI-iste BtoB que j’ai crée était vertueux. Et adapté aux industries. Je l’ai développé.

– Les F.F.I : Comment avez-vous rencontré notre mouvement ?

– R.E : J’ai échangé avec Emmanuel par hasard puis avec Laurent et Gilles. Je n’étais pas du tout un homme de réseaux, je n’étais même pas trop engagé au niveau local. Mais cette fois-ci, j’ai été séduit. Je m’étais toujours dit : si j’adhère à quelque chose, c’est pour une cause à laquelle j’adhèrerai pleinement et qui ne me fera pas perdre du temps – je préfère passer du temps en famille. Je voulais quelque chose qui me parle, me passionne, qui m’apporte et à qui j’apporte. Les F.F.I venaient de naître, et j’ai voulu en être. Je suis l’un des premiers membres, j’ai été le premier ambassadeur en province. Je suis quelqu’un d’engagé. Je donne tout ce que je peux raisonnablement donner. Être aux côtés d’industriels et de sympathisants du Made in France, ça me plait. L’objectif est clair : comment mieux positionner nos savoir-faire, nos productions, en particulier dans le domaine de la commande publique. Ça me parle et je peux le prôner. Je ne fais pas de politique, je ne sais pas et ne veux pas le faire. Je veux du concret et du terrain. Je suis un technicien. J’ai souhaité impliquer des entrepreneurs d’Aix et de Marseille, deux villes distantes de 20 kms mais parfois si difficiles à couvrir….On a des sympathisants du Vaucluse et du Var autour de Marseille. Dès le départ, j’ai souhaité avoir autant d’hommes que de femmes. Je suis papa de deux filles. Les femmes sont aussi compétentes, si ce n’est meilleures et elles sont de plus en plus impliquées dans ce domaine. Les F.F.I Provence ont aujourd’hui entre 60-80 sympathisants, la difficulté est de convertir en adhésions. Nous devons transformer à ce niveau. Nous organisons un événement mensuel et nous réunissons, en moyenne, 25 participant(e)s. J’alterne, une fois par mois, un dîner et une visite d’usine. En Provence, nous sommes encore peu connus. Mais quand nous le sommes, les F.F.I incarnent des forces vives qui agissent sur le terrain. Je retrouve beaucoup d’énergie, de bonnes idées, d’ambition. Je repars à chaque fois boosté des dîners auxquels je participe. Oui, je suis content et fier d’être l’un des ambassadeurs du club dans ma région.

– Les F.F.I : Comme le veut la tradition de ce portrait membre, pouvez-vous définir Gilles Attaf en trois mots ?

– R.E : Convictions, engagement et amoureux du Made in France. Je peux en dire plus ? J’ai découvert l’homme, j’échange fréquemment avec lui. C’est quelqu’un qui est très attentif quand on arrive à le capter. Il est passionné et il en devient passionnant. Il est hyper humain. Je suis très heureux et flatté de faire partie de son cercle.

– Les F.F.I : Même exercice avec Emmanuel Deleau…

– R.E : C’est le technicien du réseau, comme il aime lui-même à se définir. Il est plus méthodique, rassembleur.

– Les F.F.I : Laurent Moisson, en trois mots ?

– R.E : On s’apprécie beaucoup, c’est un ultra communicant, j’apprends, j’essaie de m’améliorer en m’inspirant de ce qu’il fait. Il ne le sait pas mais, je l’ai à l’œil. Je le lis, je l’écoute. Il a su rester accessible, humain et à l’écoute. Mais c’est un trait fort commun à ces trois cofondateurs.

Interview de Nicolas Pigasse, articlé publié le 12 janvier 2023.

Lien originel de l’article : https://www.forcesfrancaisesdelindustrie.fr/raynaut-escorbiac-realite-augmentee-mon-monde-virtuel-est-bien-reel-et-vertueux/

Interview Fait en France : La télé – MIFExpo2022

Situé en plein milieu du salon du Made In France 2022, et notamment en face du stand France Immersive, le plateau de Fait en France : La télé diffusait en direct non-stop du jeudi au dimanche.

Au programme, Anthony Vitorino recevait des personnalités publiques et acteurs du Made In France pour mettre en lumière leurs produits ou services élaborés sur le sol français.

Pour la seconde fois, Raynaut Escorbiac était l’invité d’Anthony pour parler de France Immersive. À leurs côtés, Géraldine de la Brosserie Française, Fabrice de Sylvamo et Éric d’Intuis, 3 acquéreurs récents d’une visite immersive, expliquaient en quoi cette technologie leur permet de mettre en avant leurs savoir-faire respectifs.

Avec en bonus une projection sur grand écran des visites immersives de chacun, grâce au casque de réalité virtuelle et à notre démonstrateur Julien !

Vidéo sous-titrée sur YouTube.

Émission réalisée le samedi 12/11/2022.

On parle de nous sur France Info !

Grande fierté d’être cité dans ce reportage France Info dédié aux acteurs de l’écosystème du Made In France au MIF Expo 2022 !

Vidéo sous-titrée sur YouTube.

Extrait du reportage à notre sujet réalisé par Claire Koc et Nicolas Métauer le 11/11/2022.

Notre passage sur France 3 !

C’est sur notre stand, en plein milieu du salon du Made In France 2022, porte de Versailles à Paris, que nous avons accueilli Claire Koc et Nicolas Métauer de France 3 Île-de-France le jeudi 11 novembre 2022 pour un reportage axé sur France Immersive et notre client Reglo, fabricant de vêtements à Bobigny.

Vidéo sous-titrée sur YouTube.

Reportage réalisé par Claire Koc et Nicolas Métauer le 11/11/2022.

Article dans le Journal des Entreprises

À l’occasion du salon du Made In France 2022 qui se tenait du 10 au 13 novembre à la porte de Versailles à Paris, Hélène Lascols interviewait le fondateur d’Inersio Raynaut Escorbiac pour parler de visites de savoir-faire et de réindustrialisation.

Inersio positionne sa plateforme France Immersive comme un acteur de la réindustrialisation française

La start-up aixoise Inersio expose ses compétences en réalité virtuelle et dévoile, sur sa plateforme France Immersive, le savoir-faire de dix usines françaises lors du salon du Made In France. L’occasion pour son dirigeant Raynaut Escorbiac de rappeler sa volonté de participer à la réindustrialisation de la France.

Parmi sa centaine de clients représentant douze domaines d’activité tels que l’industrie lourde, l’artisanat, la culture, le tourisme ou encore l’agriculture, la start-up aixoise Inersio, spécialiste de la réalité virtuelle et des vidéos interactives, a choisi de dévoiler les secrets de fabrication de dix d’entre eux à l’occasion de la dixième édition du salon du Made In France, qui se déroule du 10 au 14 novembre 2022.

Sur le stand d’Inersio, les visiteurs peuvent ainsi découvrir les coulisses de la savonnerie Marius Fabre à Salon-de-Provence ou de la chocolaterie Puyricard près d’Aix-en-Provence, du fabricant de bottes Aigle dans la Vienne, ou de l’usine de chaussettes et leggings Bleuforêt dans les Vosges.

 

Une centaine d’entreprises à visiter

Ces visites d’entreprises se retrouvent toutes sur France Immersive, une plateforme développée par Inersio en 2020. « Pendant la crise sanitaire, nous avons proposé des visites virtuelles d’entreprises, alors que celles-ci étaient fermées au public, puis nous avons fait le pari d’adresser exclusivement les entreprises françaises, de rendre visible les savoirs et savoir-faire des quatre coins de la France », explique le fondateur et dirigeant Raynaut Escorbiac.

Aujourd’hui, l’entreprise aixoise et sa dizaine de salariés proposent des vidéos 360° et interactives, disponibles sur France Immersive, mais aussi une offre en totale immersion à l’aide de casques de réalité virtuelle ou en réalité augmentée. « Des interviews peuvent être réalisées, des vidéos de présentation intégrées, diverses documentations et une voix off ajoutées. Le spectateur est alors plongé à 100 % au cœur de l’entreprise », précise l’entrepreneur.

Certifié Origine France Garantie, Inersio a ainsi vu son chiffre d’affaires doubler chaque année. « Nous devrions atteindre les 800 000 euros de chiffre d’affaires en 2022 et l’entreprise a été rentable dès la première année », se félicite Raynaut Escorbiac.

 

Acteur de la réindustrialisation

Le dirigeant en est convaincu, les nombreuses entreprises françaises lui offrent encore un « beau potentiel ». Déjà partenaire de l’organisme Origine France Garantie, il a commencé un travail avec les Entreprises du Patrimoine Vivant. Sa participation au salon du Made In France est aussi l’occasion pour Inersio de rappeler que « l’industrie française n’est pas un gros mot », confie Raynaut Escorbiac, qui prône depuis longtemps la réindustrialisation de la France et qui représente les Forces françaises de l’industrie en région Paca. « Nous voulons positionner notre plateforme comme un véritable appui pour partager voire redynamiser les territoires et leurs atouts. Nous voulons aussi permettre à chaque dirigeant d’avoir toute son entreprise, tous ses process et son cadre de travail dans sa poche, et ainsi lui offrir la possibilité de transporter ses prospects et de potentielles recrues dans son quotidien », ajoute l’entrepreneur.

Article publié par Hélène Lascols le 10/11/2022.

Lien originel de l’article : https://www.lejournaldesentreprises.com/region-sud/article/inersio-positionne-sa-plateforme-france-immersive-comme-un-acteur-de-la-reindustrialisation-2049016

Article StratégiesNews

En amont du salon du Made In France 2022 qui se tenait du 10 au 13 novembre à la porte de Versailles à Paris, le média Stratégies consacrait un article à notre plateforme France Immersive. Merci à eux !

France Immersive en met plein les yeux

Présente au salon MIF Expo à partir du 10 novembre, la plateforme de visites virtuelles France Immersive proposera un voyage en réalité virtuelle dans les coulisses d’entreprises orientées Made in France.

Visiter dix usines tricolores sans bouger de Paris. C’est ce que va proposer France Immersive au salon du Made in France, MIF Expo, prévu du 10 au 13 novembre. Cette plateforme de visites virtuelles d’entreprises mettra à disposition sur son stand des casques de réalité virtuelle permettant de se promener dans les coulisses des sociétés sélectionnées et de découvrir les outils et machines, les salariés à l’œuvre, le processus de fabrication, etc. Parmi les entreprises qui ouvriront leurs portes à distance figurent le fabricant de bottes Aigle, la savonnerie Marius Fabre ou encore la chocolaterie de Puyricard.

Article publié par AM le 04/11/2022.

Lien originel de l’article : https://www.strategies.fr/actualites/marques/LQ1162161C/france-immersive-en-met-plein-les-yeux.html

Article France 3 Régions au Carnaval de Nice 2022

Pour l’édition 2022 du carnaval de Nice, notre équipe était présente au village du carnaval pour faire découvrir au public les coulisses de l’évènement, plus particulièrement la construction des chars et la conception des costumes. Munis de nos casques de réalité virtuelle, les visiteurs plongeaient au cœur des ateliers des carnavaliers.

Découvrez en immersion 360° les coulisses du Carnaval de Nice 2022

C’est insolite et c’est du jamais vu. En plus d’assister aux corsos et à la bataille des fleurs, les visiteurs du Carnaval de Nice peuvent cette année en découvrir les coulisses, grâce à un casque immersif qui les plonge au cœur de la manifestation.

En dehors des corsos et des batailles de fleurs, les visiteurs peuvent cette année découvrir une autre facette de cette manifestation grâce au Village Carnaval installé sur la place Massena à Nice où des stands et des animations leur permettent de profiter des festivités.

Une visite inédite et virtuelle pour les visiteurs

Parce que ces derniers ne peuvent ni rentrer dans la Maison du carnaval, rue Richelmi où les chars sont conçus et montés et ne peuvent pas non plus visiter la halle Spada, rue Denis Semeria où sont entreposés les chars et où l’année dernière la tête du Roi était partie en fumée, une solution alternative a été trouvée : celle de la réalité virtuelle.

« On a presque le vertige », un visiteur

La nouveauté à retenir pour cette édition 2022, c’est un casque virtuel qui permet à tous de s’immerger dans les coulisses du carnaval, de la fabrication des chars à la création des costumes.

La mise à disposition de cet appareil est plébiscitée par les visiteurs qui vivent là une expérience hors norme.

« La dame est en train de faire un costume avec des coupes de tissus. C’est une belle expérience, quand on baisse la tête, on a presque le vertige », un visiteur.

Grâce à un casque de réalité virtuelle, les visiteurs peuvent pour la première fois s’immerger dans la partie cachée du carnaval, comme le montage des chars ou la création de costumes. C’est donc virtuellement que l’on peut se retrouver dans le hangar au plus près des carnavaliers.

Ajoutée aux divers ateliers artistiques comme celui des masques de carnaval, grâce à cette attraction, chacun peut devenir acteur du carnaval.

« Ce qui est le plus important, c’est l’interactivité », Raynaut Escorbiac.

Le dirigeant d’Inersio Raynaut Escorbiac, s’est spécialisé dans les visites immersives à 360° dont l’objectif est de montrer les sites industriels et les usines de l’intérieur.

Créée au courant de l’année 2019, cette entreprise multiplie des demandes venues des quatre coins de l’hexagone de la part de sociétés spécialisées dans le Made in France. Et le carnaval de Nice en a fait partie.

Connue par la mairie de Nice pour avoir filmé les éditions précédentes, c’est sans surprise que cette entreprise a remporté l’appel d’offre.

« Le fait d’être en immersion dans le hangar nous fait découvrir comment on construit vraiment les chars. », Raynaut Escorbiac, dirigeant d’INERSIO.

Pour le fondateur de FranceImmersive, ce casque de réalité virtuelle permet de faire découvrir le savoir-faire français.

« Ce qui est le plus important, c’est l’interactivité. Ainsi, c’est votre rythme qui guide votre visite. », Raynaut Escorbiac, dirigeant d’INERSIO.

Pour découvrir les coulisses du carnaval de Nice, cliquez sur ce lien.
Après ça, vous ne verrez plus le carnaval de la même façon !

Quand le virtuel devient réalité

Cette 137ème édition du carnaval de Nice sur le thème du Roi des animaux s’achève samedi 26 février dès 20h30 avec l’incinération du Roi. D’ailleurs à cette occasion 3000 places supplémentaires ont été rajoutées afin qu’un maximum de personnes puissent assister au dernier corso.
En attendant, en ce mardi 22 février dès 20h30, plus de virtuel mais bien la réalité avec le corso carnavalesque illuminé !

Article publié par Véronique Lupo le 22/02/2022.

Lien originel de l’article : https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/nice/decouvrez-en-immersion-360-les-coulisses-du-carnaval-de-nice-2022-2470459.htm

Article sur Tendance Hôtellerie

Article rédigé par Tendance Hotellerie le 16 novembre 2020

Tourisme industriel : France Immersive ouvre les portes des entreprises françaises

Depuis le début de la crise sanitaire, Inersio s’engage pour la valorisation des savoir-faire français. La startup prouve une fois de plus son engagement pour le made in France en lançant en un temps record France Immersive. Cette première plateforme web de visite d’entreprises françaises à distance en vidéos 360 degrés interactives a déjà séduit plus de 25 entreprises !

Inersio, startup française spécialiste de la réalité virtuelle, annonce le lancement de France Immersive, la première plateforme de visite interactive à distance dédiée aux entreprises françaises. Accessible à tous gratuitement, France Immersive ambitionne de mettre en lumière les savoir-faire français et de faire découvrir la richesse et l’importance de notre tissu industriel dans un contexte sanitaire et économique bouleversé par la Covid-19. A travers ces visites immersives et interactives en vidéos 360 degrés, les entreprises ont l’opportunité de valoriser leur production française et les consommateurs peuvent découvrir la fabrication de leurs produits.

Créée il y a 2 ans, Inersio développe des solutions innovantes dans le domaine de la visite virtuelle interactive sur base de vidéos 360°. Nous avons créé des visites virtuelles à destination des entreprises afin de faire découvrir à distance qui ils sont et leurs métiers à travers un casque de réalité virtuelle. Pendant le premier confinement, nous nous sommes retrouvés à l’arrêt sur ce marché, les salons étant annulés et les boutiques fermées alors que nos clients avaient plus que jamais besoin de valoriser leur production française. Nous avons donc mis à profit notre temps pour créer un outil accessible à tous à distance ! » explique Raynaut ESCORBIAC, CEO d’Inersio.

Véritable tournant stratégique pour la startup, la plateforme France Immersive a donc été développée en un temps record et regroupe déjà plus de 25 visites virtuelles. 12 domaines variés sont représentés allant de l’industrie lourde à l’artisanat de pointe en passant par la culture, le tourisme ou encore l’agriculture. L’entreprise a prévu de doubler ce chiffre pour proposer une cinquantaine de visites sur la plateforme d’ici la fin d’année 2020.

Une technologie de pointe au service des entreprises

Avec la crise sanitaire, le monde change et les visites d’usine, pourtant indispensables pour les industriels, doivent se faire différemment. Afin d’immerger au maximum l’utilisateur au sein de l’univers de la marque et de son lieu de production, France Immersive se base sur de la vidéo 360° interactive.

Plus immersive qu’une simple photo, la vidéo 360° permet à l’utilisateur de se promener au sein de l’entreprise et de naviguer simplement entre les différents espaces grâce à des boutons cliquables pour changer de lieux où aller plus loin à travers des photos, vidéos plates, process ou encore voix off. En se téléportant, au cœur du terroir, des méthodes de fabrication ou d’un lieu de production, il se retrouve plongé dans l’authenticité de l’entreprise ! L’utilisateur peut ainsi découvrir à son rythme l’histoire de la marque, ses savoir-faire et voir les salariés en action de ses propres yeux pour comprendre comment et dans quelles conditions les produits sont fabriqués.

La visite virtuelle est un véritable relai de croissance. Dans le retail, conquis par l’authenticité du produit, le panier moyen est alors augmenté d’une manière significative (40% constaté en boutique entre 2 clients). Dans l’industrie, la visite d’une ligne de production permet aux commerciaux d’améliorer le taux de transformation (par exemple Progress Silicones utilise la visite immersive pour maintenir son taux de transformation à hauteur des visites physiques). Dans un vignoble, pouvoir se promener grâce à une visite immersive au milieu des vendanges, toute l’année, permet de faire découvrir le terroir et par effet d’accroître les ventes.

Plus de 85 % des entreprises qui proposent une visite physique possèdent une « boutique d’usine ». Le visiteur peut alors acheter les produits dont il a constaté la production ; il existe un lien évident entre la conception, la visite et l’achat. Chez Marius Fabre par exemple, la visite immersive a permis de faire face à l’annulation des journées du patrimoine en accueillant 2000 visiteurs en ligne lors du weekend du 19 septembre 2020. Quotidiennement, plusieurs visiteurs en profitent directement depuis le site web client via la bannière en page d’accueil.

Une plateforme dédiée au made in France au service des consom’acteurs

Depuis plusieurs années, le tourisme industriel se développe en France – en 2017, c’est plus de 2000 entreprises qui ont ouvert leurs portes à plus de 13 millions de visiteurs. Et pour cause, les consommateurs, de plus en plus soucieux de l’impact de leur consommation, sont à la recherche de davantage de transparence afin de choisir un produit en toute connaissance de cause. La plateforme a été pensée comme une vitrine des savoir-faire français. Toutes les visites d’usine sont regroupées sur une seule et même plateforme visant à promouvoir la fabrication française auprès des consommateurs. Défi relevé pour France Immersive qui fonctionne sur toutes les plateformes (Mac / Pc / iOS ; Android …).

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